On dirait que mon PC ne peut pas passer une journée sans m’annoncer que tel ou tel logiciel a grandement besoin d’une mise-à-jour. C’est une bonne chose à mon sens… enfin, sauf quand la mise-à-jour en question nous fait perdre un temps fou.
Depuis un bon moment, TortoiseSVN me fait remarquer que je n’utilise pas la dernière version du logiciel. J’ai donc pris un moment pour le mettre à jour. La lecture des notes de mise-à-jour terminée et quelques tests ont tôt fait de me convaincre que ça en valait vraiment la peine.
J’ouvre donc RadRails pour continuer le site pour les retrouvailles de mon école secondaire (j’ai bien hâte de vous le montrer); je demande à RadRails de faire la mise à jour de mon projet avec un des Engines que j’ai modifié pour me faire dire que le client de Subversion est trop vieux et qu’il doit être mis-à-jour (ce qui n’est pas le cas puisque RadRails continue de me dire qu’il est à la dernière version).
Pour faire une histoire courte et puisque RadRails ne semble pas vouloir être compatible avec TortoiseSVN 1.4.3 j’ai développé ce petit truc qui pourrait bien être utile à d’autres.
En quatre temps…
- Je créé mon projet Rails à partir de la ligne de commande avec un nom temporaire…
- J’importe mon projet vide à l’intérieur de mon dépôt de code source avec TortoiseSVN et le « checkout » immédiatement.
- J’ouvre RadRails et je créé un projet Rails vide (i.e. sans structure d’application ni rien)
- Je copie tout le contenu du projet temporaire (incluant les .svn qui sont normalement cachés) à l’intérieur du projetRadRails.
De cette façon RadRails ne voit plus les attributs Subversion et cesse d’invoquer les librairies en problème (qui m’ont causé des problèmes bien avant cette histoire de mise-à-jour) et je peux continuer à synchroniser le projet en utilisant TortoiseSVN.