septembre 2006

Après beaucoup de tergiversation… le code de la démo. Choisir une license de distribution n’est pas nécessairement évident. J’ai d’abord pensé à utiliser la license Mozilla, mais suite à plusieurs lecture et à réaliser qu’elle est peu ou pas compatible avec plusieurs autres licenses, j’ai changé mon fusil d’épaule. Mon choix s’est arrêté sur la License MIT qui est beaucoup plus permissive (peut-être trop). Je l’ai préféré à la GPL qui me semble beaucoup trop stricte.

Bien alors pour les sceptiques de mon premier article, je viens de le mettre en pratique. Et voila qu’en moins d’une soirée, M2i3 lance le nouveau site myWebSiteAnalysis. Oui le contenu est plutôt mince mais c’est quand même un site complet. Je vous tiens au parfum des prochains développement de ce site bientôt. Donc les étapes pour un site complet en une soirée.

1. Décidez de votre nom de domaine
2. Ouvrir un compte chez Monster Hosting
3. Ajouter un courriel pour l’administrateur
4. Liez votre nom de domaine à un répertoire
5. Utilisez Fantastico pour installer Joomla

Et voila, voici un site fonctionnel. De plus, j’ai rajouté Joom!Fish pour faire un site multilingues. Et hop un petit template gratuit de chez Joomlahacks et on est en business comme on dit chez nous.

Bon j’y retourne. À plus tard.

Vous avez probablement entendu parler de digg et de M2i3.com. Nous vous fournissons maintenant des liens rapides vers les principaux sites de partage de signets et d’articles. C’est un phénomène intéressant qui misent sur la masse des gens pour déterminer le contenu le plus intéressant. En bref, plus de gens lisent un texte ou marquent un lien comme intéressant, plus ce lien devrait être visible.

Tous les jours, je regarde le journal des visites sur notre site. Je suis capable de voir qui vient et quels sont les mots clés que vous avez utilisé. Je remarque que plusieurs d’entre vous nous visite pour de l’information sur Joomla.

Les bons côtés de Joomla

Dans l’optique d’aider nous visiteurs qui viennent nous lire, laissez moi passer un peu de temps sur ce système de gestion de contenus. Joomla est le système que nous recommandons à nos clients à l’heure actuelle. Il est très flexible et possède de nombreux modules utiles. Par exemple, Joomfish est un module de traduction complet du contenu. Ceci est très utilise pour faire un site multilingue. Ajoutez VirtueMart et vous avec un système de commerce électronique. À mon goût, VirtueMart possède le problème d’avoir un système d’achat trop fastidieux. Pour pouvoir acheter, vous devez avoir un compte sur votre site, ce qui est un non-sens. Nous avons trouvé le module JomRes et JomBok pour la réservation de salle et de chambre d’hôtel. Pour faire le gabarit, rien de plus simple. Dans le HTML vous chargez chacun des modules dans un DIV. Ensuite, vous mettez tout en page à l’aide d’un CSS. Avec Joomla vous aurez tous les outils pour faire un site de grande qualité.

Mes inquiétudes sur Joomla

Mes deux grandes questions face à cet outil, l’optimisation pour les engins de recherche et les statistiques. Est-ce que les URL peuvent être réécrit pour être plus facile à lire par les engins de recherche? Est-ce que nous pouvons définir les éléments du HEADER à notre guise. Les éléments KEYWORDS, DESCRIPTION et COPYRIGHTS sont assez important pour la gestion des engins de recherche. Pour les statistiques, ça n’a pas l’air très fort. Pour palier à cette dernière faiblesse, nous utilisons Google Analitics. Si vous êtes un Webmestre, vous devez utiliser Google Analytics. C’est vraiment très bien fait, et vous aurez une quantité incroyable d’information sur votre site. Voila, nous attendons vos commentaires avec impatience.

Hé bien ! Belle surprise ! Deux nouveaux commentaires aujourd’hui. Dommage qu’ils soient anonymes. Le premier commentaire me semble avoir été écrit par J. B. Rainsberger. Je suis très surpris de cette visite et j’en suis honoré. Merci de vos commentaires. Je comprends la difficulté que vous avez eu lors de la rencontre, mais vous me semblez un très bon orateur, et j’aurais grandement apprécier vous entendre plus M. Rainsberger. Je regarde si je suis disponible pour aller à XP Day. Pour le deuxième commentaire, une réponse à un autre commentaire sur mes blogues. Ne vous en faites pas, le premier commentaire est de la part d’un des mes bons amis Daniel. Après toutes les histoires/aventures/voyages que nous avons fait ensemble, lui seul à le droit de m’insulter ainsi. Mais après son commentaire, je ne suis pas si sur, qu’il reste mon ami. Bon, ok Daniel, je te pardonne. Avec Jean-Marc, nous avons pense élargir les discussions sur le site de M2i3. Pour l’instant immédiat, je ne crois pas qu’un forum soit une bonne idée, mais s’il y en a d’entre vous qui voudriez écrire des blogues sur les méthodes Agile, le code source libre, le marketing Internet ou Ruby on Rails, communiquez avec nous. Bien que j’aimerais avoir un site bilingue bientôt, nous garderons les discussions en Français pour le moment. Mon courriel est hugues.lamy@m2i3.com. Bonne journée à tous.

Hé bien oui. Ça arrive même aux meilleurs. J’ai complètement bloqué ma boîte à courriels il y a quelques jours. Oui, je sais, pas très fort, mais ça arrive. Si vous avez récemment communiqué avec moi par courriel, je vous demande de bien vouloir me les renvoyer. Je suis désolé si ce problème vous a occasionné un dérangement. Bonne journée.

Comme vous l’avez vu dans le texte de la démo sur une page d’accueil dynamique, je cherche un modèle de license avant de publier le code derrière la démo. Dans le mode du code source libre, c’est un choix plutôt important et comme je n’ai pas eu à publier le code de mes démos depuis longtemps, je suis curieux de voir s’il existe des licenses dirigées plus précisément sur la publication de démo. Des idées???

Extreme Programming, Crystal, Scrum, Lean software development. Toutes ces méthodologies sont des méthodologies Agile. Celle-ci sont formelles et montrent des balises assez précises. Scrum a des backlogs, XP a des itérations. Les itérations sont plus ou moins longues selon la méthode. Toutes les méthodes sont sensé être facile à implémenter en entreprise. Doit-on être très formel en applicant ces méthodologies? Un des principes du manifeste Agile, est la réflexion sur sur notre travail de temps à autre. Qu’arrive-t-il si nous décidons de ne plus faire de la programmation par pair mais il y aura un développeur senior qui fera une revue de code systématique? Nous ne suivons donc plus Extreme Programming. Qu’arrive-t-il si j’aime les méthodes Scrum mais j’aimerais avoir des itérations plus longue? Ces méthodologies ont du bon, mais ne soyez pas contraint à l’une d’entre elle à tout prix. Ce n’est pas parce qu’on a un marteau dans la main, que tout est un clou. Les méthodes Agile offrent de la flexibilité à nos clients. Elle devrait aussi être flexible pour nous. Si vous avez une opinion sur ce sujet, ne vous gênez pas à laisser un commentaire. À bientôt.

Difficile de ne pas écrire un petit quelque chose après le blogue de Hugues… Pour une démonstration à un client potentiel j’ai conçu une page d’accueil pour un portail d’intranet fournissant des blocs d’informations très similaire à l’accueil personnalisé de google. Dans le concept d’un intranet où les intérêts des différents utilisateurs varient ce concept est très prometteur. Chaque utilisateur sélectionne les sources d’informations relative à son travail et adapte sa page d’accueil à ses besoins. Bon assez de flafla et place à la démo. Si vous suivez ce lien vous trouverez la page en question. Chaque bloc d’information peut être déplacé, presqu’à volonté, sur la page. Malgré l’effet le truc derrière la page est relativement simple. Trois éléments importants permettent d’obtenir cet effet. Premièrement la capacité pour le navigateur web de déplacer dynamiquement les éléments de la page. Cette partie est géré par la fonction sortable_element du module ActionView::Helpers::ScriptaculousHelper. Cette fonction créé le code javascript qui active l’effet de tri de Scriptaculous. Avec l’aide d’un peu de code sur le serveur on peut alors mémoriser l’emplacement des éléments de la page. Le deuxième élément est un changement CSS qui permet aux blocs de la page de vraiment s’aligner un à côté de l’autre plutôt qu’un à la suite de l’autre. On obtient cet effet par l’attribut float sur l’élément LI le reste des attributs de la liste cette liste en une série de blocs. Le code sur le serveur est le troisième élément de cet effet. Il sert à la mémorisation ainsi qu’au rendu de la page (c’est bien beau de les déplacer dans le navigateur mais si la page reprends son aspect initial lorsqu’on y retourne on brise l’expérience de l’utilisateur). Il reste bien sûr à ajouter les éléments html et le code pour l’ajout et le retrait des blocs d’informations mais le cœur de l’effet est bien en vue dans cette démo.